Dans le domaine de l’élevage de porcins, il est primordial de mettre un accent sur leur alimentation. En effet, cette dernière doit être prioritaire lorsqu’il s’agit d’élevage. Après la santé, le plan alimentaire est beaucoup plus important pour les animaux. Ainsi, pour assurer le plan alimentaire des porcins, les agricultures biologiques sont fortement conseillées. Comment doit donc être l’alimentation des porcins en se basant sur les agricultures biologiques ?

Alimentation des porcins selon l’étape de l’élevage

La vie des animaux dans l’élevage se divise en trois étapes : la naissance, la croissance et la période d’engraissement. Dans chaque étape, il y a une catégorie d’aliments à suivre. Les nouveau-nés se nourrissent seulement du lait de leur mère. Cette première étape a une durée d’un mois et ne requiert aucune alimentation en agriculture. Arrivés à terme de cette période, les porcs vont passer à l’étape de croissance qui va durer de 5 à 8 mois. Durant cette étape, les porcelets doivent manger des aliments solides. L’agriculture biologique va constituer à partir de là les pigs feed. C’est durant cette étape qu’a lieu la période de sevrage où les porcelets vont vivre en groupe de même âge. En ce qui concerne l’engraissement, elle a une durée de 3 à 5 mois. Si les conditions d’alimentation ont été suivies durant les 3 ou 5 mois, l’élevage peut prendre sa fin. C’est ainsi que les porcs sont prêts pour l’abattoir. Pour plus d’informations, rendez-vous sur ce site.

L’alimentation en agriculture biologique des porcins

Les porcins sont des omnivores, c’est-à-dire que leurs bases alimentaires tournent autour des végétaux, des chairs et des insectes. De ce fait, les pigs feed doivent être choisis avec attention. Le lait pour les nouveau-nés est un aliment crucial, car c’est la loi de vie des mammifères. Aucun aliment n’est capable de surmonter ou de concurrencer le lait pour ces nouveau-nés jusqu’à leur second mois. C’est donc la mère qui va nourrir les porcelets. Au stade du sevrage, l’alimentation des porcins change, car elle commence par être constituée de chou, de blés, de maïs, de tourteaux et d’herbes. Quant au stade d’engraissement, ce sont les produits agricoles contenant des graisses qui doivent être mis en valeur notamment les tourteaux et les sojas. Toutefois, il ne faut pas oublier que l’eau doit être comprise dans leur alimentation pour favoriser leur croissance.

Les besoins alimentaires des porcs

Les porcs ont besoin de céréales à 60 %, d’oléo protéagineux de 34 %, et les 6 % sont des besoins en minéraux. En effet, c’est par le biais des éléments nutritifs de porcins que ces derniers puissent couvrir leurs besoins. C’est la raison pour laquelle leur ration alimentaire doit contenir des aliments contenant ces éléments. Les céréales se trouvent dans les blés, les maïs et les orges, mais ils peuvent en trouver dans d’autres substances qu’ils mangent. Les oléo protéagineux se localisent dans les sojas et dans les tourteaux. Les 6 % de minéraux sont constitués par de calcium, de magnésium et de phosphore. Pour établir le taux nécessaire de calcium, les porcins doivent manger de crucifère comme le chou et les divers légumes cuits. Les herbes, céréales et les tourteaux aussi apportent du phosphore pour les porcs. Le magnésium se trouve dans les herbes plus jeunes et plus fraîches. C’est la raison pour laquelle l’alimentation des porcins doit se baser sur les herbes jeunes et non pas des fourrages, encore moins des fourrages très anciens.

En résumé, l’alimentation des animaux doit donc se baser sur les aliments minéraux pour éviter le mal fonctionnement interne de leur organisme et assurer leur croissance. Les pigs feed doivent être composées de tous les éléments nutritifs essentiels pour entamer une meilleure production.

Le pulvérisateur est utile pour pulvériser des produits chimiques en liquide ou en poudre. Ceci est parfois dans l’usage agricole. Il peut aussi être utile pour les particuliers qui aiment entretenir leurs jardins ou pour ceux qui veulent effectuer des nettoyages des murs et les toitures d’un logement. Découvrez dans la suite la description, les types et les caractéristiques de cet outil.

La description et le principe d’un pulvérisateur

Un pulvérisateur est un dispositif destiné à pulvériser des produits sous forme de liquide ou de poudre pour traiter les cultures contre certaines maladies, pour éliminer les ravageurs des plantes, pour désherber et pour appliquer des engrais propres à la feuille (engrais foliaire). Les pulvérisateurs sont composés d’une pompe, d’une cuve, d’un distributeur et des buses. Pour la régulation du débit de pulvérisation, les dispositifs les plus performants possèdent un manomètre et un régulateur de pression.

La cuve du pulvérisateur contient des suspensions qui sont diluées dans l’eau, et munies d’un élément qui le maintient en mouvement pour éviter toute agitation de la bouillie. La pompe d’un pulvérisateur contient un régulateur de pression, ceci permet de maintenir la pression fixée par son utilisateur. Cette pression est en général contrôlée par des techniciens pour le respect des cahiers des charges et les normes européennes.

Les caractéristiques des dispositifs de pulvérisation

Voici quelques caractéristiques des pulvérisateurs qui sont importantes, comme la pression entretenue, la batterie, la pression d’air préalable, basiques à gâchette et sur roue. Ils peuvent être thermiques, électriques ou mécaniques, mais les modèles petits ne sont composés que d’un système unique, cela c’est le cas du spray à gâchette.

La qualité de pulvérisation est importante, car plus la qualité est bonne plus le traitement est efficace. Selon les spécialistes, les pulvérisations fines permettent de rendre efficaces les principes actifs. Tous les pulvérisateurs professionnels doivent avoir une sangle, un réservoir, des bretelles, un tuyau, une lance dotée d’une gâchette et d’un système sous pression et buses.

Les types des pulvérisateurs

Il y a les pulvérisateurs à gâchette pour traitement local conçu en plastique qui diffusent les produits directement par la gâchette, c’est le cas des Lave-vitres. Les pulvérisateurs à pression d’air préalable sont des modèles à main destinés pour les potagers et les jardins. Ceux des modèles à pressions entretenues sont les systèmes à dos, il contient une pompe à pomper en permanence par un levier latéral.

Les pulvérisateurs à batterie ou électriques sont des appareils alimentés par une batterie rechargeable ou par une pile, ce sont des modèles de pulvérisation plus sophistiquée qui apportent de plus de confort. Ceux qui sont avec des roues sont très faciles à déplacer pour les particuliers qui ont des difficultés dorsales en portant les modèles de pulvérisateurs à dos.

Le quad offre une sensation forte, peu importe le lieu. Sa puissance est toujours révélée avec sa forme sportive et extravagante.

Les préalables pour choisir un bon quad

Premièrement, vous devez bien savoir comment vous allez utiliser votre quad. Certains types peuvent avoir un titre d’homologation afin de circuler en ville. Pour vous faciliter dans votre choix, veillez à cerner vos besoins si vous voulez l’utiliser temporairement durant les vacances, ou de façon permanente comme moyen de locomotion. En deuxième lieu, vous devez évaluer la performance de votre véhicule. Même si tous les quads sont des tout-terrain, cela n’empêche pas que d’autres marques fournissent des puissances et références différentes, comme les voitures et les motos. Les quads ont la possibilité de varier entre 20 cc et 125 cc. Chacun d’entre eux possède alors sa propre puissance pour une montée ou pour un passage sur terrains ardus. Chaque quad aura son efficacité ou ses problèmes techniques face à ces routes. Pour le choix des références, il est mieux de choisir un petit cross de forte cylindrée pour les randonnées ou les virées occasionnelles, et une grande pour des utilisations plus fréquentes avec endurance. Même si ce sont les 4 roues qui donnent aux quads leur nom, vous devez savoir que les quads à 4 roues « motrices » sont plus adhérents et cramponnent plus que ceux avec 2 roues motrices, donc plus adéquats pour les terrains difficiles.

Le permis de conduire

Cependant, il est important de connaître la législation du véhicule sur la route avant de choisir son quad. Pour le permis, les mineurs de 16 ans peuvent conduire les cylindrées de moins de 50 cm3. Mais au-delà de cette cylindrée, en commençant avec une puissance de 20 cc, le quad doit passer une homologation avant d’emprunter la ville. Et le permis que doit posséder le conducteur d’au moins 16 ans est le permis B1 ou A ou A1, même s’ils sont classés véhicules légers privés ou PLG et peuvent être homologués sur route. Mais tous les quads ne sont pas toujours autorisés à être utilisés sur route et obtenir une homolgoation, vous devez vérifier si le modèle que vous souhaitez peut en bénéficier.

Les papiers nécessaires

Pour les autres papiers, dans le cas d’utilisation sur route, vous devez satisfaire les exigences suivantes : le permis de conduire complet, une assurance comme les autres véhicules à moteur avec permis de circulation, une taxe pour légaliser son achat, et enfin votre plaque d’immatriculation délivrée après homologation. Dans le choix de quad que vous ferez, l’assurance est un papier non négligeable qui facilitera votre circulation avec votre bolide. En ligne, vous pouvez obtenir l’homologation ou le contrat d’assurance, ou même y choisir votre modèle.

Faites appel aux grandes marques de l’équipement agricole pour les processus d’aménagement des terrains. Proposant de nombreuses solutions agricoles, les grandes puissances mobilisent les engins les plus performants de leur atelier. Avis aux amateurs de l’agriculture ou à la recherche des matériaux, les agriculteurs peuvent opter sur plusieurs marques d’équipement agricole.

Les puissants à la première ligne

Très frustrant de voir un détraquage en pleins travaux, avec les grandes marques de l’équipement agricole vous seriez au large des pannes. En détenant sa propre marque, Fendt se positionne en première place parmi les grandes marques de l’équipement agricole. Vendeur et concessionnaire, la marque dispose les engins agricoles les plus utilisés. Très demandé sur le marché, Fendt réussi sur tous types de terrain. À sa porte, le leader offre à chacun une nouvelle version des modèles existants. Récemment une nouvelle génération sur tous types de modèles d’équipements agricoles.

Ensuite, Claas spécialisé dans la vente des matériaux agricoles comme les tracteurs, les moissonneuses et batteuses, l’ensileuse, les machines de récoltes fourragères, l’EASY, les presses et les chargeuses à pneus. L’entité offre également la location des équipements de terrain et la vente des pièces détachées des engins agricoles. Les pièces de rechange, les chargeurs et les lubrifiants, tous les accessoires complets de l’équipement sont disponibles chez Claas.

Autres grandes marques d’équipements agricoles

John Deere, vendeur et fabricant de ses marques. Comté parmi les grandes marques de l’équipement agricole. Notamment les tracteurs agricoles, les matériels de récolte, moissonneuses, batteuses. D’origine américaine, l’entreprise détient sa spécification des couleurs vertes et jaunes dominantes. John Deere propose également à ses clients une location de ses équipements. Attaché de l’agriculture, l’entreprise mise également sur les matériels forestiers et les matériels de construction. Son activité englobe la vente des machines et des pièces détachées, ainsi les propositions de service courant.

Puis il y a Amazone, un fabricant d’outils pour la préparation du sol et non pas le site e-commerce. Amazone offre la chaîne complète de « culture intelligente ». Elle fabrique les semoirs, les semoirs mono graine, les épandeurs d’engrais et les pulvérisateurs. De mêmes finalités que les autres grandes marques de l’équipement agricole, Amazone se concentre sur les procédés de cultures modernes. Ainsi une activité de prestataire de service, de formation pour les agriculteurs.

Une marque avec de la qualité

La réputation de ses marques s’en va avec la qualité des services et des produits spécifiques de chacun. Suite à leur faisabilité dans le monde de l’agriculture, chaque marque possède des outils de travail du sol propre. L’écoute client sur les exigences, et la fiabilité des engins marque leur notoriété. De plus, un travail solitaire n’aura pas une si bonne montée. Les grandes marques de l’équipement agricole privilégient le travail en équipe, ainsi que l’engagement, l’innovation et la durabilité des produits.

L’exploitation agricole est une activité qui assure l’économie d’un pays. Pour la fiabilité de cette activité, il est important de bien choisir son équipement agricole pour avoir un taux de rendement élevé. Il est actuellement essentiel de disposer des machines adaptées et des équipements de qualité pour son secteur agricole. Il faut énoncer certains critères avant d’acheter un équipement agricole.

Savoir le type de travaux pour l’équipement agricole

Avant de choisir son équipement agricole, il faut savoir l’utilité de cette machine concernant les travaux agricoles. Les machines agricoles sont souvent très coûteuses. En revanche, il est d’une importance capitale avant de s’investir dans un équipement agricole de bien déterminer l’utilisation de la machine. Il faut déterminer en avance les travaux ou les différentes opérations que la machine va exercer pour l’exploitation agricole.  Est-ce qu’il s’agit des travaux à la ferme, dans les champs ou pour le moissonnage ? Quel de type de travaux pour cette machine ? Est-ce qu’il s’agit de travaux de traction ou de transport ? Ces questions méritent une grande réflexion avant de choisir sa machine agricole. Certes, l’acquisition d’un équipement agricole est une opération coûteuse, d’autant plus qu’il n’existe pas de machine polyvalente pour une activité agricole. Ainsi, il est primordial de dresser une liste de tâches que la machine agricole va réaliser, par exemple un tracteur.

Connaître les caractéristiques de l’exploitation avant de choisir un équipement agricole

Avant de s’investir dans l’achat d’un équipement agricole, il est primordial de connaitre la situation géographique, la superficie du terrain à exploiter. Ces critères seront importants pour déterminer le type de machine à choisir. Dans cette situation, une étude technique est essentielle pour pouvoir connaitre la machine agricole à utiliser pour son activité agricole. Par exemple, pour l’achat d’un petit tracteur, une superficie de 5 à 10 hectares suffit pour son exploitation agricole. Mais pour une superficie plus de 10 hectares, il est important d’opter pour un tracteur avec un moteur de grande puissance. Il faut aussi bien évaluer le type de terrain qui va être exploité, car cette donnée va dépendre du choix de la machine à utiliser.

Choix d’un équipement agricole : connaitre son entretien et son utilisation

Avant de choisir une machine agricole, il est une étape incontournable de connaitre l’utilisation de ladite machine. Il faut opter pour un outil simple à utiliser. Il faut optimiser aussi sur une machine qui sera facile à entretenir pour éviter d’embaucher une autre personne à faire cette maintenance. Quel que soit l’équipement agricole à acheter, il faut savoir le faire fonctionner et maîtriser son utilisation. Il est important de bien se renseigner en détail pour le fonctionnement de la machine en cas de panne, par exemple. Pour conclure, il faut acheter une machine efficace, mais simple pour éviter les mauvaises surprises lors de son utilisation.

Pour améliorer la qualité des terres et du sol, il vous faut choisir la culture biologique. Cette dernière peut vous assurer un résultat sur le long terme. Il existe des organismes pouvant vous aider à faciliter votre transition. Il est fondamental d’engager les bonnes démarches pour assurer la conversion vers la culture biologique.

Pourquoi ne pas changer sa culture classique en culture biologique ?

Avant de changer sa culture classique en culture biologique, il est impératif d’appréhender tous les bienfaits de la culture biologique. A priori, vous devez mettre en valeur les effets de cette dernière. Il s’agit d’un moyen de réduire les effets réels des produits chimiques sur le corps humain. De plus, l’agriculture classique apporte des conséquences néfastes sur la qualité du sol. De plus, la culture classique entraîne le déclin de certaines fermes agricoles. De toute évidence, la culture biologique est considérée comme un excellent moyen accroître la rentabilité de l’exploitation. Pour ce faire, les terres doivent passer par une période de transition. Il est important de faire appel à un professionnel de l’agriculture pour assurer cette période.

Quelles sont les démarches à entreprendre pour s’adonner à la culture biologique ?

Pour entreprendre cette démarche de transition, il vous faut employer des stratégies de qualité. Par ailleurs, il est fondamental de mettre en évidence le respect des normes pendant la période de transition pour assurer toutes les démarches. Le système de production biologique peut différer en fonction de la situation. Vous devez ainsi établir un plan d’actions fiables pour assurer la culture biologique. Il est recommandé de respecter toutes les normes pour éviter les désagréments futurs. Les exigences du marché peuvent varier en fonction du climat et de la qualité du sol. La culture biologique nécessite l’utilisation des intrants (semences, fertilisants, …). Les matériaux utilisés sont révolutionnaires et délaissent totalement les modes de production classiques. Les producteurs devront se former pour assurer ce type de culture.

Transition de la culture classique vers la culture biologique

La transition de la culture classique vers la culture biologique peut s’avérer compliqué dans certains cas. Vous devez suivre toutes les directives imposées. De toute évidence, vous devez mettre en valeur plusieurs caractéristiques avant de vous lancer dans un changement radical. Il vous faut adopter de nouvelles pratiques culturales pour assurer le résultat escompté. Toutes les méthodes utilisées doivent être appliquées. De plus, ce type de culture peut vous garantir une meilleure gestion de temps. La qualité des éléments nutritifs est à mettre en exergue. La certification biologique est un excellent moyen de prouver l’efficience de votre transition. La culture biologique est très prisée actuellement pour plusieurs raisons. Il vous faut privilégier l’aspect financier de vos projets. Les incidences financières peuvent influencer la faisabilité de votre projet.

On parle de stress hydrique lorsque la quantité d’eau disponible dans une zone ne peut plus combler la demande, pendant une période donnée. L’expression retrouve également son sens quand l’usage de l’eau est limité par sa mauvaise qualité : eau non potable ou saumâtre par exemple. Ces dernières années, on a constaté une forte croissance démographique au niveau mondial que le besoin en eau potable a fortement augmenté. Le phénomène touche actuellement plusieurs pays.

Quels sont les impacts du stress hydrique ?

Le stress hydrique touche principalement la végétation. En effet, les plantes sont confrontées à une situation de carence, qu’elles sont obligées d’adapter leur mécanisme, pour rétablir leur système hydrique et survivre. Un déficit hydrique, selon son degré et sa durée, affecte progressivement la croissance végétale. Les cultures de base comme les céréales sont particulièrement sensibles au manque d’eau.

Dans les régions affectées par le stress hydrique, les ressources en eau douce peuvent se dégrader à une grande vitesse. La quantité de cette eau baisse visiblement à cause de la surexploitation des eaux souterraines et l’assèchement des rivières et ruisseaux. De plus, la qualité reste à désirer à cause de la pollution organique, la pollution de l’écosystème et les éventuelles intrusions salines.

Comment limiter le stress hydrique ?

Afin de limiter le stress hydrique, la solution la plus efficace est de commencer par le traitement et la récupération de l’eau. Il existe aujourd’hui deux procédés recommandés pour réduire le risque de l’épuisement des ressources hydriques. Le premier, c’est le dessalement qui consiste à ôter le sel de l’eau de mer. Pour ce faire, deux techniques peuvent être utilisées : celle de l’osmose inverse et celle de la technologie thermique ou évaporation. Cette solution pourrait approvisionner jusqu’à 200 millions de personnes. Le deuxième procédé consiste à traiter les eaux usées. Les régions confrontées au stress hydrique devront s’équiper d’usines de traitement des eaux. Les eaux traitées ne sont pas destinées à la consommation, mais plutôt à des usages domestiques comme l’irrigation des jardins, ou l’irrigation agricole. Elles peuvent également servir en industrie, surtout pour les systèmes de refroidissement ou de climatisation.

Stress hydrique : où est-il localisé ?

L’accroissement de la demande en eau est observé un peu partout dans le monde. Mais les plus frappés par un stress hydrique intense sont les régions arides. On reconnaît qu’un pays fait face à un déficit hydrique, lorsque la quantité annuelle d’eau disponible pour chaque habitant est inférieure à 1,7 million de litres. Cependant, si elle passe en dessous d’un million de litres par an par habitant, on parle d’une pénurie d’eau.

On observe principalement le phénomène du stress hydrique dans des pays comme le Proche et Moyen-Orient, dans le continent asiatique, notamment en Inde et au Pakistan, et également dans les zones situées dans les grandes plaines de la Chine, sans oublier certains pays d’Afrique. Toutefois, victimes des grandes canicules survenues ces dernières années, certains pays d’Europe sont touchés par ce déficit hydrique.

Pour faire face à la croissance grandissante de la population actuelle, il se trouve que le secteur agricole doit assurer une production alimentaire suffisante à sa charge tout en préservant l’environnement. A travers ce concept de base, il a été constaté que l’augmentation de la densité de culture permet une limitation de l’expansion incontrôlée des surfaces agricoles, et ce, justement, dans l’objectif d’un accroissement de la productivité.

Une coopération des plantes se fait remarquer dans l’agriculture

En effet, selon des études réalisées dans le cadre des travaux de recherche en matière agricole, il a été mis en évidence que les plantes semées à forte densité se coopèrent entre elles pour l’emploi des ressources  disponibles dans le milieu où elles se trouvent implanter en suivant le principe  des plantes coopératives. A ce titre, pour parvenir à une augmentation significative du rendement de la surface cultivée, il importe de développer un modèle de sélection des plantes capables de respecter ce principe de coopération au cours de leur croissance. En améliorant ces catégories de plantes, il est possible d’avoir des variétés peu compétitives en captivant moins de ressources (lumière, eau, azote…etc.) au profit de leurs voisines. Ces nouvelles générations dsuivant le principe  des plantes coopérativese plantes coopératives vont nécessairement augmenter le rendement de la culture au lieu de se créer des conditions défavorables à leur épanouissement, contrairement à ce qui s’est passé entre des plantes compétitives.

La compétition entre les plantes fait diminuer le rendement des cultures

Depuis l’origine des temps, il a été relevé que l’homme a déjà pratiqué une sélection artificielle des plantes à cultiver pour une amélioration tant de la qualité que de la quantité de sa production agricole. Par la suite, les agronomes ont identifié à travers des études pointues que la compétition des plantes dans l’absorption des ressources disponibles telles que l’eau, la lumière ou l’azote dans le sol ne fait que diminuer le rendement agricole. Entre autres, les plantes plus compétitives développent rapidement leurs tiges et leurs feuilles pour favoriser la capture de la lumière tout en produisant moins de graines.

Une sélection artificielle pour l’augmentation de la productivité des plantes

Par la même occasion, elles empêchent aux autres de bénéficier de ces ressources. Sur ce point, une sélection artificielle s’avère nécessaire pour trouver des variétés de plantes en mesure de maximiser la productivité. Quoi qu’il en soit, il a été remarqué que les critères de sélectivité à prendre en compte dans ce sens restent encore peu évidents et que plusieurs paramètres favorisent la coopération entre les plantes. Et, si jusqu’à présent, les chercheurs se sont penchés surtout sur la compétition pour la lumière, il se trouve que le modèle identifié peut avoir les mêmes réactions en présence de tout type de ressource (eau, lumière…etc.). L’un des objectifs à atteindre est donc l’exploration des caractéristiques qui entre en ligne de compte dans la coopération entre les plantes.

L’azote a un rôle important dans l’agriculture. C’est un élément minéral important dans le développement de la plante. On la retrouve sous diverses formes. Le mode d’administration peut être un facteur déterminant pour optimiser la fertilisation azotée.

Rôles de l’azote sur la production

L’azote joue un rôle essentiel dans la qualité de la production et aussi sur le rendement au sein d’une exploitation. Les plantes l’absorbent sous forme de minéral dans le sol. Son absorption permet à la plante de croître et d’être vigoureuse. Le corps de la plante est constitué des acides aminés, protéines issus de la transformation de l’azote absorbée par la plante. La couleur d’un végétal dépend également de sa nutrition en azote. A savoir qu’une plante avec une coloration verte vive a une teneur en protéine élevée. D’où la présence de chlorophylle utile pour la photosynthèse qui transforme l’énergie solaire en glucide par réduction du dioxyde de carbone de l’atmosphère. L’azote contribue surtout à la constitution du corps de la plante comme le tige, tronc et des parties vertes comme les feuilles.

Formes de l’azote

L’azote peut être sous forme minéral ou organique. La forme minérale favorise son absorption par les racines de la plante. Sous forme organique, les plantes ne peuvent l’utiliser dans le sol. Il faut l’intervention des bactéries et des microbes pour sa minéralisation. N’oubliez pas que l’azote constitue à l’état libre 78 % de l’air que l »on respire. Et il existe des plantes légumineuses qui peuvent fixer ces azote atmosphériques et les utiliser pour leurs croissances. L’azote de forme organique se trouve dans les déchets d’animaux et aussi dans les plantes qu’on enfouit dans le sol. Dans le commerce, on le retrouve sous forme liquide ou en granulé solide.

Mode d’utilisation de l’azote pour la fertilisation

Pour optimiser la fertilisation azotée dans une exploitation, il faut tenir compte de divers paramètres.

– La nature du sol : connaître les cultures précédentes et savoir les apports en engrais faits antérieurement. La quantité à apporter est ainsi déterminée selon les besoins de la plante.

– La période du cycle cultural : apporter l’azote à un stade ou la plante en a le plus besoin.

– La condition climatique :  choisir le moment ou la météo n’infecte pas son épandage comme les périodes pluviales.

Il y a des risques de lessivage. Il faut trouver le bon équilibre de la quantité à utiliser en fonction des besoins réels de la plante à tout moment de sa croissance. Cela diminuera le risque de volatilisation de l’azote non-utilisé, un danger pour l’air et l’environnement. La plante aussi ne sera pas suralimentée en azote, origine de la fréquence des maladies. L’utilisation de l’azote organique par enfouissement est très favorable à la culture et au maintien de la bonne texture et structure du sol. On peut aussi cultiver des légumineuses entre les lignes de plantations. La quantité d’azote de synthèse utilisée sera ainsi amoindrie.

Le choix des variétés de plante adaptées à une prairie s’avère parfois difficile. Il dépend en effet de nombreux facteurs, dont les conditions pédoclimatiques ou encore la durée d’exploitation de la prairie. A travers les lignes suivantes, trouver des conseils pratiques sur les éléments à considérer pour le choix de l’espèce à exploiter.

Prenez en compte de la durée de l’exploitation

Le choix des espèces en prairie dépend notamment de la durée d’exploitation de celle-ci. Si vous envisagez de planter des espèces peu pérennes, vous pouvez opter pour du ray-grass d’Italie (RGI), qui dure 6 à 18 mois ou 2 ans pour les espèces alternatives. Cette variété peut également s’accompagner de légumineuses développées récemment. L’Alexandrie, le perse ou l’Incarnat, sont également à privilégier pour une prairie de courte durée.

Par ailleurs, pour une prairie de longue durée, le ray-grass hybride (RGA), le fétuque des prés, les trèfles blancs peuvent durer jusqu’à 2 à 3 ans. Implantez du dactyle ou du fétuque si l’exploitation de la prairie va au-delà de 5 ans.

Choisissez les espèces en fonction des conditions pédoclimatiques

Le type de sol est sans doute le principal élément à prendre en compte. En effet, certaines espèces sont très exigeantes au niveau de la qualité du terrain. Le dactyle, la luzerne, le brome et le lotier corniculé s’accordent parfaitement à un terrain superficiel et sec. Par contre, le fétuque des prés, la fléole et la trèfle hybride sont plus adaptés à un sol humide.

Au niveau climatique, il n’y a rien à craindre une fois que la prairie est installée ou en dormance. Dans une région sujette à la sécheresse, misez sur les espèces résistantes comme le dactyle, le brome, le lotier ou encore la fétuque élevée. Il faut noter que cette dernière s’adapte également à tout type de terrain. Le RGA, quant à lui, ne pousse qu’à une température inférieure à 25°C.

Optez pour un mélange de graminées-légumineuses

Les légumineuses sont réputées pour leur fixation symbiotique. Il s’agit d’un phénomène se caractérisant par le retient de l’azote atmosphérique en vue de garantir son développement et celui des espèces non-légumineuses environnantes. Ce processus représente d’ailleurs l’avantage principal des prairies combinant graminées et légumineuses. Il permet une économie d’azote pour des fourrages plus équilibrés en énergie et en protéine, sans oublier une meilleure production estivale.

Peu importe le nombre d’espèces en prairie associées, les légumineuses jouent un rôle importante dans la conservation d’azote, tant qu’elles représentent 40 % de la matière sèche en période estivale. Attention! Les légumineuses consomment une importante quantité de phosphore et de potassium. Cela prive le sol de ces apports, empêchant les autres espèces de se développer. Il faut rester  vigilant là-dessus. Afin d’apporter aux légumineuses la quantité de minéraux dont ils ont besoins, associez-les avec du luzerne. Celui-ci conserve une quantité importante de potassium et de phosphore.

Plan du site